Ecrire et lire l'Enseignement catholique

chronique

Chahuts et silences

Eric De Beukelaer aborde le sujet des réseaux sociaux, des critiques parfois ad hominem qu’il peut y subir et de l’anonymat des internautes. Cet anonymat pose question dans nos systèmes démocratiques. L’école est, pour lui, le lieu d’excellence pour l’apprentissage nécessaire de la citoyenneté adulte.

L’ami imaginaire et l’Enfant de la crèche

Éric De Beukelaer nous emmène pour une réflexion sur « l’ami imaginaire », cette construction de l’esprit que les pédagogues connaissent bien car on la rencontre chez nombre d’enfants âgés de 3 à 5 ans. Un ami invisible qui leur tient lieu de compagnon de vie et de jeu, destiné entre autres à lutter contre l’isolement et la perte du sentiment de fusion avec sa maman. Selon des non-croyants, la foi en Dieu en serait la continuation chez les adultes qui ont fait le choix de croire. Un discours séduisant au premier abord, mais qu’Éric De Beukelaer déconstruit partiellement, car ce « grand ami imaginaire » que les croyants appellent Dieu est, selon lui, l’inverse d’une fuite du réel.

Opium du peuple…

Éric De Beukelaer nous emmène pour une réflexion sur l’essence du christianisme. La religion chrétienne est le contraire d’un opium, qui offre de fuir les enjeux concrets. Elle nous enracine, bien au contraire, en nous-même pour nous faire vivre plus intensément au cœur du réel.

La mort d’une Reine…

Eric De Beukelaer revient sur la disparition de la reine Elizabeth II et sur ce qu’elle et la monarchie représentent.

Une rentrée optimiste… Voilà le combat

Eric De Beukelaer fait un pied-de-nez à la morosité ambiante. Son message : « Osons l’optimisme » ! Tout n’est pas toujours rose mais saisissons chaque épreuve comme une opportunité.

Lettre ouverte à un(e) jeune prof démotivé(e)

Eric De Beukelaer s’adresse avec espoir aux enseignants qui seraient tentés de baisser les bras devant les difficultés : « Avant de décider de quitter l’enseignement, pense que cette année tu as peut-être changé la vie de certains de tes élèves. Et cela, durant une des heures de cours les plus pourries que tu aies eues à endurer. Seulement, tu n’en sauras sans doute jamais rien. »

Un seul réseau… OK, mais lequel ?

Eric De Beukelaer s’interroge sur les volontés de certains politiques d’aller vers un réseau d’enseignement : « D’accord, à condition qu’il soit authentiquement libre et non pas neutralisé. Plutôt que d’être soumis à une uniformisation standard, chaque PO devra garder la possibilité de colorer son projet pédagogique, en ce compris par rapport à l’enseignement de la tradition religieuse qui fait partie de son ADN. »

L’école du synode

Eric de Beukelaer évoque le synode sur l'Église et la synodalité convoqué par le pape François : chacun est invité à participer à cet exercice démocratique, y compris l’école.

L’école de l’échec

Eric De Beukelaer s’interroge sur le sens de la formule « école de la réussite » à l’aune du message pascal.

Carnaval et Carême : pédagogie de croissance spirituelle

Eric De Beukelaer s’interroge sur le sens du carnaval et du carême en cette époque et plaide pour que l’enseignement réinvestisse cette séquence symbolique.

Enseignement catholique
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