Dans un an se dérouleront les élections législatives, et dans quelques mois, les élections communales et provinciales. C’est le coup d’envoi d’une longue période de campagne(s) électorale(s). Chacun y va déjà de ses « priorités » et autres « promesses » pour tenter de séduire et/ou convaincre. Et l’enseignement n’y échappe pas. Une belle occasion, écrit le Directeur général du SeGEC, d’exercer l’esprit critique tant célébré dans les décrets et référentiels sur l’éducation à la citoyenneté !
Elle a déjà beaucoup fait parler d’elle. Un an et demi après son entrée en vigueur dans l’enseignement primaire, quelques mois après son entrée en application dans le secondaire, c’est sur la mise en œuvre de l’éducation à la philosophie et à la citoyenneté dans l’enseignement catholique que le Directeur général du SeGEC a fait le point au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il invite aussi chacun à réfléchir à la place qui sera réservée demain, à l’échelle du système éducatif, à l’éducation proprement religieuse.
Lors de la journée d’étude du SeGEC en mars dernier, Bernard PEETERS, membre de la Coordination des collèges jésuites et Jean-Pierre BERGER, Frère des écoles chrétiennes, étaient appelés à éclairer la manière dont le Pacte d’excellence s’adresse à la personne dans toutes ses dimensions. Une occasion aussi de rappeler les fondements du projet éducatif et culturel de l’enseignement catholique.
Grande première à l’école fondamentale Saint-Antoine de Forest : élèves et enseignants vont accueillir des poules dans la cour ! La mission des gallinacés : trier les déchets. Un projet valorisé par le Bubble Festival, organisé par Bruxelles Environnement et axé, cette année, sur le thème du « zéro déchet ».
Si vous avez un bon chauffagiste, soignez-le aux petits oignons ! Il semblerait bien, en effet, d’après les professionnels du secteur, que trop peu de jeunes se destinent aujourd’hui à ce métier, reconnu « en pénurie » et pourtant intéressant à bien des égards. C’est ce qu’a voulu souligner l’Association des chauffagistes du Namurois et du Luxembourg, en mettant sur pied un concours interréseaux destiné aux élèves de 6e professionnelle.
Pour nombre d’entre nous, les maths, ça ne fait ni une, ni deux, ça ne le fait pas, tout simplement. Mais quand c’est Emmanuel HOUDART, directeur et cofondateur de la Maison des Maths à Quaregnon, qui en parle, voilà tout ce qu’on croit en savoir balayé en deux temps, trois mouvements par ce pédagogue-né, énergique et passionné. Le jury qui vient de le nommer « Wallon de l’année » ne s’est donc pas trompé en saluant ses efforts « de nature à ouvrir les esprits aux sciences ».
Que ce soit avec une classe de maternelle, de primaire, de secondaire ou même d’étudiants du supérieur, l’objectif des « aniMATHeurs » de la Maison des Maths reste le même : démontrer l’émotion des mathématiques… Et la sauce « prend » ! Une enseignante en Haute École en témoigne.
Dans un monde en perpétuel mouvement, la faculté de poser des choix revêt une importance cruciale. Devant la myriade de possibilités d’études et l’évolution constante du marché de l’emploi, un accompagnement s’avère (souvent) indispensable. Comme acteur de première ligne, le centre PMS veille à accompagner le jeune pour qu’il puisse s’informer, s’interroger, questionner ses représentations et prendre une décision. Mais l’école dans son ensemble peut être conçue comme « orientante », et de multiples initiatives vont dans ce sens.
L’idée de concevoir l’école comme un lieu d’apprentissage de la démocratie fait consensus. Mais la démocratie elle-même est aujourd’hui réinterrogée. Dans ce contexte, comment l’apprendre à l’école ? De quoi parle-t-on concrètement ? Comment la nouvelle génération d’élèves envisage-t-elle les enjeux collectifs et démocratiques ? Quelles sont les pratiques quotidiennes dans nos établissements à ce sujet ? C’est à ces questions que tentera de répondre la prochaine Université d’été du SeGEC.
La nébuleuse « neurosciences » ne cesse de s’étendre, y compris dans le monde scolaire. Une bonne raison pour s’intéresser au dialogue entre Jean-Pierre LEBRUN et Marc CROMMELINCK consigné dans le livre « Un cerveau pensant : entre plasticité et stabilité. Psychanalyse et neurosciences ». Petit survol qui attire l’attention sur ce qui touche, de près ou de loin, les enjeux éducatifs.
Étudiante en 2e année « institutrice primaire » à l’École normale catholique du Brabant wallon, Chloé SANA a aussi passé une bonne partie de ces dernières années sur les pistes de ski pour guider sa sœur malvoyante, Eléonor. Elles ont même participé toutes les deux aux derniers Jeux Paralympiques d’hiver à PyeongChang, en Corée du Sud… avec une médaille de bronze à la clé !
C’est devenu une sorte de tradition sur Facebook : les chien-chiens et les cha-chats nous détournent un moment de la dure réalité découverte au fil des infos quotidiennes. Il n’en fallait pas plus pour que notre graphiste préférée et néanmoins attitrée vous concocte un « Jeu des 7 erreurs » pas piqué des hannetons… La plus grosse serait de passer à côté !
Des exemplaires sont à votre disposition dans votre école ou
votre centre PMS si celle/celui-ci fait partie du réseau
libre confessionnel.
Vous pouvez vous inscrire (ou vous désinscrire) à une
lettre d'information donnant accès gratuitement à la version
électronique.
Vous pouvez vous abonner à la version papier.
entrées libres, le mensuel
de l'Enseignement catholique - Dix numéros par année scolaire.
Contactez-nous : redaction@entrees-libres.be - © entrées libres