Dans la société qui est la nôtre, la célébration de la naissance de Jésus est souvent vécue dans la tentation de l’opulence alimentaire et consumériste. Ne pourrait-elle pas, pour les chrétiens, être l’occasion d’ouvrir son cœur à Dieu en l’Autre quel qu’il soit, dans le respect de ce qu’il est, sans exiger de lui qu’il devienne copie conforme de nous-même ?
Les premières mesures du Pacte pour un enseignement d’excellence sont entrées en application à l’occasion de la rentrée. C’était l’occasion ou jamais d’interroger le Professeur Jean Hindriks (UCL-Itinera Institute), qui pose un regard d’économiste sur notre système d’enseignement et propose une approche croisée de l’enseignement francophone et flamand.
« Les principes de la Gestion des Ressources humaines à l’épreuve de l’enseignement de promotion sociale », tel était le thème de la rentrée académique de la Fédération de l’Enseignement de promotion sociale catholique. Jean-Jacques FELIX, intervenant externe dans des organisations non marchandes y a exprimé la conviction qu’une série d’invariants dans le comportement et les besoins de chacun mériteraient d’être travaillés davantage par les dirigeants.
Pour sensibiliser les élèves au sort des enfants de la rue au Guatemala, Julia, originaire de ce pays, est venue témoigner à l’École du Bonheur, à Woluwe-Saint-Lambert. Cette visite, organisée en collaboration avec Entraide & Fraternité, était l’occasion de faire réfléchir les enfants à leurs droits et leurs devoirs, ainsi qu’à l’importance de la participation.
Une préparation de longue haleine, l’objectif de développer la culture et le respect de l’autre, une magnifique réussite : voici qui résume bien le voyage en Israël et Palestine de 24 élèves de 5e et 6e générales de l’Institut des Filles de Marie à Saint-Gilles, en avril dernier.
Elle viserait à respecter l’égalité des sexes en se basant sur diverses conventions, telles que le « point milieu ». Pour Alain BENTOLILA, linguiste et professeur à l’Université Paris Descartes, se battre à peu de frais contre une règle arbitraire en la faisant passer pour le symbole d’une discrimination sociale est un pitoyable combat.
Les chiffres relatifs au harcèlement entre jeunes recouvrent une réalité qui peut prendre des formes très diverses. Quelles qu’elles soient, la souffrance, elle, est bien là. Largement moins médiatisé, le harcèlement entre adultes n’est pas en reste. Se moquer sans arrêt nommément sur les réseaux sociaux de sa direction, de ses collègues ou de parents cela devient de la diffamation. A l’école, s’il n’existe pas de solution miracle pour enrayer le phénomène, ce n’est qu’après avoir protégé la victime et tenté d’arrêter les comportements de harcèlement qu’on peut mener un travail éducatif et de socialisation avec victime, harceleur et témoins.
Marie COQUEL était professeure de français et d’histoire au Centre scolaire Notre-Dame de la Sagesse à Ganshoren quand elle a décidé de partir, avec son compagnon, au volant d’un van, à la découverte de l’Europe. Un voyage de deux ans qui les verra aller d’école en école, à la rencontre des enseignants.
C’était l’effervescence, le 30 septembre dernier, au Salon Creativa Namur. À 16h30 tapantes, un défilé de mode exceptionnel réunissant dix de nos écoles permettait à un public nombreux et très intéressé de découvrir une ligne de vêtements créée de A à Z pendant l’année scolaire. Une expérience hors-norme, qui a mis en lumière un secteur souvent mal connu.
« Dès lors que tout un chacun est appelé à contribuer, ne serait-ce que par l’impôt, aux politiques engagées, il est normal d’examiner la bonne utilisation des fonds », rappelle Marie DURU-BELLAT. Comment cette évaluation contribue-t-elle à la vie démocratique ? Cette question était au cœur de la dernière Université d’été du Conseil national d’évaluation du système scolaire (France).
Ah la fin de l’automne, les balades en forêt, la récolte des châtaignes ! D’aucuns pourraient s’en tenir à ces plaisirs simples. D’autres y voient l’occasion de philosopher sur la vie, vécue comme une suite d’incessants recommencements ou comme une série d’occasions d’agir pour faire changer les choses.
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